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Un outil mal considéré qui permet de travailler toutes les compétences psychosociales : connaissez-vous (vraiment) bien la mascotte ?

Depuis plusieurs années, la nécessité de développer les compétences psychosociales chez les élèves fait l’objet d’un consensus scientifique et éducatif mondial.

Vous souhaitez à développer ces aptitudes en classe mais cela vient s’ajouter au millefeuille de vos objectifs…Trouver des outils pertinents qui n’alourdissent pas votre charge relève du casse-tête ! Formations limitées, guides complexes, programmes éloignés de la réalité… Pour beaucoup d’enseignants, la tâche semble insurmontable..

La réponse pourrait bien se trouver dans une approche simple, douce et profondément humaine : l’usage (efficace) d’une mascotte comme levier naturel pour travailler les compétences psychosociales.

Des compétions sportives à la petite enfance : la mascotte est un outil mal exploité pour le développement des CPS

L’histoire de la mascotte, son image et son usage actuel souffrent d’un manque d’exploitation de son potentiel.

Le saviez-vous ? La mascotte était d’abord un outil au service des performances sportives !

Les premières mascottes scolaires apparaissent au début du XXᵉ siècle aux États-Unis, d’abord comme symboles de fierté lors des compétitions sportives. Choisies parmi des animaux forts (taureaux, aigles, lions), elles incarnaient alors la puissance et le courage que les établissements souhaitaient voir chez leurs élèves-athlètes.

Au même moment, en France, Jean Piaget soulevait « la tendance chez les enfants à considérer les choses comme vivantes et conscientes ». Or, l’anthropomorphisme, en mobilisant tous les sens et toutes émotions, favorise l’engagement des élèves et facilite donc l’ancrage des notions abordées. Alors, progressivement à partir de la seconde moitié du XXème siècle, ces figures se sont diffusées dans la vie quotidienne des classes : d’abord sous forme de peluches ou de marionnettes pour l’apprentissage de la lecture, puis comme personnages récurrents dans les activités créatives et langagières (album, rituels oraux, …).

La mascotte au service des compétences émotionnelles en maternelle serait-elle un outil méprisé ?

Aujourd’hui, on ne trouve guère plus de mascotte au-delà de l’année d’apprentissage de la lecture. A l’heure des EdTech, des discours technologiques des sciences cognitives et de l’IA, la mascotte serait-elle devenue ringarde ?

On ne peut pas nier son pouvoir rassurant et engageant auprès des plus jeunes élèves. Dans les petites classes, la mascotte, figure bienveillante, sert de médiateur entre l’enseignant et les enfants, facilitant l’expression des émotions et renforçant le climat de confiance.

En partageant ses propres aventures ou ses petits soucis, elle permet aux élèves de reconnaître, verbaliser et comprendre leurs ressentis.

Grâce à la régularité des échanges avec la mascotte, les compétences comme l’empathie, l’écoute active et l’estime de soi se développent de manière naturelle, ludique et progressive, participant à l’épanouissement global de chaque élève.

Mais la mascotte peut-elle dépasser la maternelle ? Comment peut-elle participer au développement des compétences cognitives et sociales chez les 8 – 11 ans ?

La mascotte et les compétences psychosociales, vers un décrochage ?

Les limites d’usage de la mascotte

Ce carcan « petite enfance, petit bobo » pousse beaucoup d’enseignants de maternelle à se passer d’une mascotte, se sentant mal à l’aise avec l’outil.

Quand la mascotte est présente, c’est, généralement, pour tirer parti du pouvoir émotionnel et engageant de la mascotte sans surcharge. Ainsi, les enseignants l’intègre facilement dans les activités existantes :

  • Routines courtes en début ou fin de journée.
  • Support multimodal : lettres, vidéos, fiches imprimables ou digitales.

In fine, plutôt que d’imaginer de nouvelles séances à insérer dans un planning déjà saturé, la mascotte est utilisée comme un « liant » entre les apprentissages et les élèves. Résultat: la mascotte se déconnecter des situations réelles et elle perd de son sens et de son impact pédagogique.

Un outil capable de créer des expériences authentiques

La mascotte, en tant que personnage médiateur, peut créer naturellement des situations vraies et engageantes :

  • Engagement émotionnel : un personnage doux, du domaine de l’enfance, facilite l’investissement émotionnel des élèves, même des plus grands. La mascotte apaise, stimule la curiosité, incite à la collaboration.
  • Imagination et créativité : avec une mascotte, il devient facile de relier divers ateliers, de créer des histoires, de vivre des jeux de rôle authentiques, autant de leviers puissants pour le développement des CPS.
  • Modèle comportemental : une mascotte peut incarner des valeurs éco citoyennes et de développement durable donnant un exemple positif et inspirant pour les élèves.
  • Cohérence pédagogique : la mascotte instaure une routine affective et pédagogique rassurante, essentielle pour ancrer les apprentissages en profondeur.

Mais cela demande du temps de préparation, et des outils complémentaires…

Comment bien exploiter tout le potentiel d’une mascotte en classe pour les CPS ?

Le secret, c’est que la mascotte à elle seule ne suffit pas ! Il faut l’accompagner de tout un monde cohérent d’échanges et de bienveillance. Vous nous répondez « temps de préparation ! » ? « surcharge de travail » ? Attendez de lire la suite !

Et s’il existait une mascotte livrée avec tout son univers et ses ressources au service des CPS ?

Une mascotte qui non seulement stimule l’engagement et la motivation même de 8 à 11 ans, en transformant chaque séance en scénario où la mascotte joue un rôle actif mais qui également :

  • encourage la cohésion du groupe classe et le sentiment d’appartenance au monde en incarnant des valeurs partagées par des élèves à l’autre bout de la planète.
  • encourage la créativité et l’imagination grâce à l’échange interculturel et le jeu rendant le travail des CPS authentique et ludique.
  • développe une conscience environnementale tangible même chez les plus jeunes en faisant vivre et comprendre aux élèves l’importance à l’échelle de la planète des gestes éco-citoyens.
  • renforce les fonctions exécutives et compétences cognitives, la métacognition et la consolidation des acquis.

AMA la Girafe : bien plus qu’une mascotte

AMA est une mascotte qui va plus loin qu’une simple peluche : elle associe la mascotte à un outil de correspondance digitale. En effet, le potentiel de la mascotte associé à la correspondance scolaire permet un travail global et profond des CPS de façon naturelle, à travers des situations vraies. Le dispositif a été imaginé pour créer des situations réelles et authentiques qui permettent d’expérimenter et non d’apprendre les compétences pscyhosociales. Seules les expériences authentiques offrent le ressenti nécessaire à la croissance des CPS.

Ainsi, le projet se fonde sur la puissance de l’interculturalité et la force de l’attachement pour mobiliser ces CPS.

Le projet AMA la Girafe a été conçu par une anthropologue spécialisée en santé publique, Séverine de Sadeleer. Elle s’est appuyée sur des recherches validées en sciences sociales, cognitives et émotionnelles pour délivrer aux élèves une réelle chance de développer leurs compétences psychosociales dès les plus jeunes classes.

Concrètement, de quoi s’agit-il ?

A la manière de Flat Stanley, Ama est une véritable ambassadrice des CPS ! La peluche relie des classes francophones des quatre coins du monde entre elles. Elle leur propose de vivre des aventures, dont le contenu est aligné sur les programmes scolaires.

L’année sera rythmée par des défis, des jeux, des découvertes que vous réaliserez en classe et que vous partagerez avec votre groupe.

Dans un premier temps, les élèves seront poussés à se poser des questions sur leur propre identité, leur environnement, leur valeurs et poseront leurs réflexion et leur résultats sur l’espace digital du groupe. Ces partages sont alors l’occasion d’apprendre à connaitre, à communiquer, puis de discuter, comparer, comprendre, accepter l’autre.

La deuxième partie de l’année engagera les élèves au co-développement, à la co-création en mobilisant les compétences psycho-sociales acquises dans la première partie de l’année.

Comprenant le besoin des enseignants en temps, en simplicité d’intégration et de prise en main, le projet AMA la Girafe n’est pas un énième outil associé des dizaines d’heure de préparation !

Le projet Ama la girafe c’est

  1. Kit clé en main : un programme et des séances pour l’année prêtes à l’emploi !
  2. Une plateforme de correspondance simple d’accès
  3. Une banque de ressources clé en main aligné avec les programmes scolaires :
  4. Une communauté de plus de 500 enseignants à travers le monde déjà conquis

AMA La Girafe est pensé pour permettre aux enseignants de travailler les CPS sans surcharger leur emploi du temps, de façon naturelle et authentique !

Pour les enseignant·es à la recherche d’outils pour travailler les compétences psychosociales de manière fluide et engageante, AMA la Girafe représente une solution éprouvée, facile à mettre en œuvre et parfaitement alignée avec les contraintes des programmes.

👉 Découvrez Ama la Girafe et son univers !

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12/23/2022 09:53:53